Le mot du président

  La pomme ne tombant pas loin du pommier, comme le dit le proverbe yiddish, le fils du Grand Rabbin Alain Goldmann n’aura, comme son père, pas la langue dans sa poche, et mènera l’institution pour le bien de tous.
Henry BATTNER

 

La pomme ne tombant pas loin du pommier, comme le dit le proverbe yiddish, le fils du Grand Rabbin Alain Goldmann n’aura, comme son père, pas la langue dans sa poche, et mènera l’institution pour le bien de tous. Nous lui adressons ‘’khazak’’ et un grand Mazel tov.

Pierre Besnainou nous a fait ses adieux lors du très bel hommage qui lui a été rendu mercredi 3 avril. Il méritait cet hommage pour avoir tenu la barre pendant huit ans. Pour mon compte, je lui sais gré d’avoir toujours été présent et d’avoir tenu ses promesses vis-à-vis de moi, représentant du Farband. Merci encore Président, et good luck .

Par contre -petit coup de gueule-, j’ai été déçu par le comportement de certains participants à cet hommage qui n’ont pas su accueillir poliment, en se levant, l’arrivée d’Anne Hidalgo, nouvelle Maire de Paris. Lorsqu’il s’agissait de Jacques Chirac ou de Jean Tiberi, moi, 81 ans dans quelques semaines et situé à gauche, je saluais en me levant leur entrée et ce faisant, je ne saluais pas l’homme politique de droite, mais le Maire élu de Paris. C’est cela aussi être républicain.

Henry Battner

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